Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Pense bête
6 septembre 2015

Une certaine idée du féminisme chez l'extrême droite

Impossible de retrouver dans quel source d'extrême-droite j'ai trouvé ce texte défandant une certain idée du féminisme (qui n'est en rien du féminisme). De même que l'extrême-droite est une alliée objective du libéralisme, elle est également une alliée de l'hétéropatriarcat, quand bien même cmamerait-elle le contraire. Ne nous y trompons pas.

Les caratères en italique sont de moi.

Depuis mai 68, la gauche attise la victimisation de communautés prétendument persécutées par l'ordre moral traditionnel. Cette victimisation agglomère des communautés disparates dont le dénominateur commun réside dans la lutte contre un groupe majoritaire dont l'image caricaturale correspond à l'homme blanc, hétérosexuel et catholique (argh je ne peux cocher qu'une case sur trois).
Avant même les minorités ethniques, sexuelles ou religieuses, les femmes figurent ainsi en première ligne de cette révolution culturelle que les gauchistes leur imposent malgré leur nature (bim, il a fallu attendre le deuxième paragraphe pour parler de la nature des femmes). Car le féminisme contrarie les femmes qui ont toujours œuvré à la préservation des traditions et soutenu les institutions conservatrices comme l'Eglise et la famille. Ce féminisme de la division, qui est clairement un instrument de destruction de la société occidentale (destruction, rien que ça), se détourne clairement des besoins actuels des femmes confrontées à un monde de plus en plus hostile.
La dévirilisation de l'Occident
Dans son ouvrage « le premier sexe », Eric Zemmour évoque la dévirilisation de l'Occident consécutive à la victoire du féminisme. Profitant d'une position dominante à l'école ou dans les médias, les féministes diffusent des valeurs fondées sur la tolérance, le relativisme, la primauté des sentiments, le consensus et le pacifisme. Ces concepts s'opposent aux aspirations viriles portées par la puissance, l'autorité, le sens du devoir, une conflictualité assumée. Contrarié dans sa nature, l'homme occidental se plie aux normes imposées par les femmes, bannit toute pilosité, assiste aux accouchements, change volontiers les couches, manifeste ses sentiments, vit dans la communication permanente. Cette féminisation s'observe également en politique avec l'émergence de thématiques relatives aux étapes naturelles de la vie, ainsi le mariage, l'éducation, la fin de vie, au détriment des problématiques plus masculines comme l'international ou les institutions (c'est bien connu, l'homme n'a que faire de l'éducation et de la fin de vie, et ça se saurait si la femme s'intéressait à l'international).
Bien que la virilité développée par Zemmour soit parfois discutable (parfois ?), notamment quand il la confond avec la débauche sexuelle et promeut la prostitution, son analyse demeure pertinente quant à la disqualification des valeurs mâles produite par la féminisation des mœurs. Cette féminisation s'est effectuée en deux étapes : une première structurelle liée à la marche normale du progrès, une seconde plus accidentelle à cause des évènements particuliers du XXième siècle.
Une prise de pouvoir en deux vitesses
Sur le long terme, la montée en puissance du féminisme procède évidemment de facteurs économiques et sociaux dont l'origine remonte au recul de la mortalité infantile. La réduction de la mortalité infantile limite l'intérêt des grossesses répétées et libère un peu de temps aux femmes déchargées même partiellement de la lourde tâche de l'enfantement. Ce temps libre est mis à profit pour exercer une activité économique en dehors du cercle familial, rendant possible l'autonomie financière puis sociale des femmes. Cette émancipation relative des femmes à travers les progrès de la médecine s'observe partout dans le monde, y compris en Iran où les universités sont investies par les filles de la bourgeoisie.
Les deux guerres mondiales discréditèrent les valeurs viriles
Mais l'histoire particulière de l'Europe au cours du XXème siècle a précipité un autre féminisme, davantage portée à la dénonciation des valeurs viriles intimement liées à la guerre. Comme l'explique Georges Dumézil, les sociétés indo-européennes valorisent la fonction combative aux côtés des fonctions spirituelle et productive. Issu de l'aristocratie, l'homme européen a toujours puisé dans la guerre la source de son prestige et la légitimation de sa puissance.
Or l'image positive du guerrier connut un discrédit total avec les deux guerres mondiales. Le poilu connut l'horreur des tranchées et son traumatisme le dégoûta de la guerre. Pire encore, le soldat de la Wehrmacht se rendit complice de tant de crimes qu'il concentra le rejet d'un idéal guerrier fâcheusement détourné par les nazis. La dimension presque génétiquement combative de l'homme européen fut mise à l'index par les enfants gâtés des trente glorieuses qui ne connurent jamais la guerre (gâtés parce qu'ils n'ont pas connu la guerre ?). Les féministes participèrent à la curée de l'homme occidental et le traînèrent dans la boue de la culpabilité, en profitant pour anéantir le modèle patriarcal qui se fissurait déjà à cause de la marche normale du progrès.
Les immigrés, source de virilité exotique
Eric Zemmour remarque que la dévirilisation ne touche que les hommes blancs dont l'appétence instinctive pour la guerre est sévèrement contrôlée par un féminisme prompt à traiter de « beauf » voir de « facho » le moindre adolescent attiré par les scènes de bataille et autres joyeuses fusillades entourant le « Faucon noir ». Inversement, le jeune immigré n'est nullement réprimandé s'il exprime son admiration pour la combativité des guerriers zoulous ou le courage de Saladin. N'ayant pas connu le même discrédit, l'idéal guerrier et viril des immigrés demeure intact, excitant bien des jalousies. D'ailleurs beaucoup de femmes blanches se mettent en couple avec des immigrés d'origine arabe ou africaine, par attirance pour une virilité qu'elles ne retrouvent plus parmi les européens de souche. Dans certains cas extrêmes, l'adolescent blond est méprisé par ses camarades de classe, non en raison de ses privilèges sociaux mais parce qu'il incarne une féminité, voire une homosexualité latente qui excite une haine féroce.
La présence de cette virilité exotique, qui s'exprime à travers le rap ou le sport, renvoie le féminisme à ses contradictions. En effet, à force d'avoir détruit les fondements patriarcaux de la société, les féministes ont abaissé les défenses naturelles de notre civilisation. A force d'avoir refusé l'enfantement, les féministes ont créé l'appel d'air démographique que remplit une immigration issue de pays souvent machistes. A force d'avoir discrédité notre héritage chrétien, les féministes ont facilité un mélange des cultures qui ne portent pas au même degré l'égalité des sexes.
De nouvelles menaces pour les femmes
Car les femmes subissent des menaces nouvelles directement liées à l'immigration massive. Dans tous les pays occidentaux, cette immigration réintroduit des concepts culturels à tendance misogyne, souvent musulmans mais aussi hindous ou latinos, dont la cohabitation forcée avec le féminisme libéral produit un cocktail explosif qui menace d'anéantir le moins viril des protagonistes. Ces concepts culturels causeraient moins de dégât s'ils étaient asservis par un système coercitif, mais c'est bien la faiblesse avérée d'une société féministe et excessivement tolérante qui permet à ces valeurs allogènes de s'exprimer brutalement.
Autrefois le jeune arabe prolétaire demeurait sous l'autorité d'un père prompt à le corriger quand il commettait un impair, désormais c'est l'assistante sociale qui croit pouvoir amadouer un jeune fauve en organisant un séjour à la mer ou à la montagne. Autrefois le jeune africain restait sous la surveillance d'un village entier qui contribuait à son éducation, désormais ce sont les dealers du bas de l'immeuble qui lui servent de grands frères. Les flots de la violence humaine, qui étaient autrefois contenus dans le cadre injuste mais efficace d'une société patriarcale (injuste MAIS efficace...), se déversent dans notre société naïve et angélique, emportant les femmes dans la tourmente.
L'augmentation statistique des viols, en banlieue ou ailleurs, illustre l'amplification de cette violence directement produite par la déstructuration morale et culturelle voulue par mai 68. La généralisation de la pornographie dévalorise l'image de la femme parmi les âmes faibles, en particulier ceux qui n'ont jamais vu de minijupes dans leur pays d'origine. Le phénomène massif du harcèlement de rue, d'autant plus inquiétant que toute femme y est confronté, empoisonne les relations humaines et attise les tensions entre communautés.
La pression islamiste ou la sécurité contre la privation de liberté
Face à l'agressivité de certains mâles immigrés en perte de repères, la tentation est grande de rétablir un modèle patriarcal traditionnel qui canaliserait leurs pulsions diaboliques. En clair, l'islam est légitimité dans son rôle de substitut à une République défaillante. Le problème, c'est que les femmes doivent renoncer à la liberté pour gagner un peu de sécurité. Officiellement pour éviter les agressions, les vêtements s'allongent et le foulard se généralise. Toujours pour éviter les regards obscènes, les femmes sont invitées à fréquenter les piscines selon des horaires spécifiques. Afin de prévenir les attouchements bien sûr, les maris accompagnent leurs épouses chez le médecin. Avant peut-être que les femmes soient interdites de conduite, comme en Arabie Saoudite où un mufti populaire explique sérieusement que les femmes évitent ainsi de se faire violer en cas de panne ou d'accident.
L'islamisation n'est donc évidemment pas la solution, mais une des causes de la violence faite aux femmes. La solution globale aux problèmes des femmes réside dans l'inversion des courants migratoires et la fin de l'immigration de peuplement. En parallèle, d'autres mesures concrètes s'imposent afin de répondre au besoin légitime de toute femme de vivre sans la peur au ventre d'une agression.
Des mesures radicales contre les agressions sexuelles
L'inflation du nombre de viols est un véritable scandale qui nécessite une réponse radicale de la force publique. Comme pour tous les crimes et délits, la dimension dissuasive des peines de prison pour agression sexuelle est sévèrement réduite par les remises de peine. Une première mesure consiste donc à rétablir l'incompressibilité des durées d'emprisonnement et à développer le cumul des peines. Une fois leur lourde peine accomplie, les agresseurs sexuels d'origine étrangère doivent être déchus de leur nationalité et expulsés du territoire.
En cas de récidive ou de viol aggravé, la perpétuité réelle permet de s'affranchir du problème de réinsertion d'individus hautement pathologiques. La castration chirurgicale permet de limiter les risques d'une évasion dans ces cas extrêmes. Ces mesures sévères se justifient par l'incurable dangerosité dont il faut absolument prémunir la société.
La systématisation des amendes en cas de harcèlement
Bien que n'ayant évidemment pas la même gravité, le harcèlement constitue un phénomène si répandu qu'il exige un traitement énergique. Toutes les femmes sont confrontées à cette violence psychologique qui s'exerce dans la rue, souvent dans les quartiers populaires et à forte proportion immigrée, et parfois plusieurs fois par jour. A l'aide d'une caméra cachée, une journaliste belge a démontré la prévalence du harcèlement dans les rues des Bruxelles peuplées d'individus majoritairement issus du Maghreb. Les insultes publiques dont fut victime la jeune journaliste démontra l'existence au sein de la capitale européenne d'un insupportable machisme oriental qui considère qu'une femme dévoilée est bonne à violer.
Des mesures concrètes pour endiguer ce fléau sont désormais possibles avec les moyens modernes de surveillance. Les enregistrements vidéo doivent pouvoir être exploitées en cas de plainte pour harcèlement, ce qui requiert une durée d'enregistrement d'au moins un mois. La démonstration de cet harcèlement est évidente quand l'agresseur interpelle la victime avec véhémence, la suit avec insistance ou réclame des relations sexuelles. Une simple application sur téléphone portable permet d'enregistrer en permanence l'environnement sonore de la victime, constituant une preuve indiscutable. Une fois le harcèlement constaté, une lourde amende fera réfléchir l'agresseur.
La Nation au service des femmes
Cette politique répressive s'avère nécessaire pour endiguer une violence entretenue par une société laxiste et dangereuse. Le rétablissement de la sécurité et de la liberté sont conditionnés par l'inversion des courants migratoires et le rétablissement de l'autorité. Une fois leur sécurité assurée, les femmes peuvent conjuguer leurs talents avec le dynamisme retrouvé des hommes dans une société apaisée.
Ces talents n'ont pas à rougir de leur condition : le don de la vie, le lien social, la transmission des valeurs et connaissances sont aussi nobles que la combativité et l'énergie propres aux hommes. Une société fondée sur la connaissance et la préservation de l'identité se doit de reconnaitre l'importance des vertus féminines. Sans doute qu'une femme présidente en 2017 permettrait d'incarner ce nouveau féminisme associé à la nation.
Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité